13 janvier 2010
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23:09
Si l'espèce humaine a proliféré sur la planète terre c'est pour deux raisons:
- Dans l'ordre naturel, l'homme est le plus grand prédateur capable d'éliminer tout autre prédateurs carnivores.
- Il a lutter pour survivre dans tous les milieux naturels, pour cela, par la pratique de l'agriculture, l'élevage, il a adapté le milieu naturel à ses besoins et non pas ses besoins au milieu naturel. Malheureusement cette "domestication" de la nature n'a pas été sans conséquences, et les déserts actuels sont bien souvent les conséquences de cette domestication irrespectueuse.
-Mais peut on revenir à un état "naturel" de l'homme qui est celui du "chasseur-ceuilleur" de la préhistoire?
Je ne le crois pas, et personne pratiquement ne le croit.
- Est-il "moral" de vouloir protéger de grands prédateurs quand la faim en Afrique tue tant de monde?
Peut-on àl a fois protéger "la nature sauvage" et nourrir tous les hommes?
Je ne le crois pas.
Il nous faut préserver la biodiversité animale et végétale, sauver nos cousins les grands singes, mais il nous faudra choisir entre l'homme et les espèces des grands prédateurs que sont le loup, le lion, le tigre, le crocodile, l'anaconda ect..
car l'homme maintenant a pris leur place au sein de la chaîne alimentaire.
L'homme a évolué, pourquoi refuserions nous ce droit à d'autres espèces? Aucun de nous je suppose n'aimerais finir sous les crocs d'un fauve, alors pourquoi croire que les autres espèces animales apprécieraient-elles la cruelle loi de la nature manger ou être mangé. Le chien très proche du loup, a, au contact de l'homme "humanisé" son alimentation, sa consommation de viande a diminué, peut-être viendra t-il un jour où cela sera possible également pour d'autres espèces prédatrices? En tout cas la réintroduction de grands prédateurs des milieux naturels où ils avaient disparus est un non sens pour qui ne considèrent pas comme normal que des hommes meurent pour que des fauves vivent.
Mais il faut évidemment avoir une politique de limitation des naissances efficace en imposant la stérilisation par ligature des trompes lors de l'accouchement du quatrième enfant(voir troisième dans les villes surpeuplées) notamment en Afrique. La politique de découragement et culpabilisation de la natalité en Europe a eu pour conséquence actuelle d'augmenter la migration de la jeunesse africaine vers l'Europe vieillissante.
Par contre, lutter contre la désertification, signifie arrêter la déforestation et reboiser en créant des forêts diversifiées, en limitant les surfaces cultivables, en ayant des cultures diversifiées et séparées par des haies, en ayant un sous bois dans des bois de grands arbres clairsemés, sous bois produisant des fruits et permettant la chasse de gibier par l'homme, l'élévage de petits troupeaux. La chèvre ou le sanglier pouvant être élevée dans un sous bois qu'ils débroussaillent et protègent des incendies, alors que l'élévage de la chèvre en milieu semi aride a crée d'immenses déserts en s'ataquant à des buissons ou jeunes arbres résistants à la sécheresse et en broutant l'herbe de manière bien plus rase que les ovins(de même le mouton).
Il nous faut choisir une politique de juste milieu, plutôt que la nature sauvage et cruelle, celle d'une nature aménagée discrètement et diversifiée.
- Dans l'ordre naturel, l'homme est le plus grand prédateur capable d'éliminer tout autre prédateurs carnivores.
- Il a lutter pour survivre dans tous les milieux naturels, pour cela, par la pratique de l'agriculture, l'élevage, il a adapté le milieu naturel à ses besoins et non pas ses besoins au milieu naturel. Malheureusement cette "domestication" de la nature n'a pas été sans conséquences, et les déserts actuels sont bien souvent les conséquences de cette domestication irrespectueuse.
-Mais peut on revenir à un état "naturel" de l'homme qui est celui du "chasseur-ceuilleur" de la préhistoire?
Je ne le crois pas, et personne pratiquement ne le croit.
- Est-il "moral" de vouloir protéger de grands prédateurs quand la faim en Afrique tue tant de monde?
Peut-on àl a fois protéger "la nature sauvage" et nourrir tous les hommes?
Je ne le crois pas.
Il nous faut préserver la biodiversité animale et végétale, sauver nos cousins les grands singes, mais il nous faudra choisir entre l'homme et les espèces des grands prédateurs que sont le loup, le lion, le tigre, le crocodile, l'anaconda ect..
car l'homme maintenant a pris leur place au sein de la chaîne alimentaire.
L'homme a évolué, pourquoi refuserions nous ce droit à d'autres espèces? Aucun de nous je suppose n'aimerais finir sous les crocs d'un fauve, alors pourquoi croire que les autres espèces animales apprécieraient-elles la cruelle loi de la nature manger ou être mangé. Le chien très proche du loup, a, au contact de l'homme "humanisé" son alimentation, sa consommation de viande a diminué, peut-être viendra t-il un jour où cela sera possible également pour d'autres espèces prédatrices? En tout cas la réintroduction de grands prédateurs des milieux naturels où ils avaient disparus est un non sens pour qui ne considèrent pas comme normal que des hommes meurent pour que des fauves vivent.
Mais il faut évidemment avoir une politique de limitation des naissances efficace en imposant la stérilisation par ligature des trompes lors de l'accouchement du quatrième enfant(voir troisième dans les villes surpeuplées) notamment en Afrique. La politique de découragement et culpabilisation de la natalité en Europe a eu pour conséquence actuelle d'augmenter la migration de la jeunesse africaine vers l'Europe vieillissante.
Par contre, lutter contre la désertification, signifie arrêter la déforestation et reboiser en créant des forêts diversifiées, en limitant les surfaces cultivables, en ayant des cultures diversifiées et séparées par des haies, en ayant un sous bois dans des bois de grands arbres clairsemés, sous bois produisant des fruits et permettant la chasse de gibier par l'homme, l'élévage de petits troupeaux. La chèvre ou le sanglier pouvant être élevée dans un sous bois qu'ils débroussaillent et protègent des incendies, alors que l'élévage de la chèvre en milieu semi aride a crée d'immenses déserts en s'ataquant à des buissons ou jeunes arbres résistants à la sécheresse et en broutant l'herbe de manière bien plus rase que les ovins(de même le mouton).
Il nous faut choisir une politique de juste milieu, plutôt que la nature sauvage et cruelle, celle d'une nature aménagée discrètement et diversifiée.