20 octobre 2013
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Alors qu'un flux régulier depuis plusieurs années d'immigrés clandestins par milliers se déverse en Europe, en France notamment, et que face à cette invasion de la précarité mais aussi de trafiquants en tout genre, la France n'a su prendre comme résolution que de les encourager à rester "discret" pendant 5 ans auquel cas ils pourraient obtenir "les papiers français", la nationalité française, voilà que l'on arrive à débattre sur l'expulsion d'une seule famille rom kosovar en situation irrégulière depuis 4 ans! La politique - spectacle est à l'oeuvre;
- Léonarda, jeune fille rom kosovar se retrouve au milieu d'une comédie politicienne qui sans doute la dépasse. On lui aura vendu du rêve, l'encourageant à revendiquer ce à quoi elle ne pouvait prétendre. Les associations - recrutrices de futurs électeurs de gauche - encouragent la clandestinité, et n'offre que des belles bulles de savon irisées qui disparaissent très vite. Comment est -il concevable qu'avant même de penser à expulser des roms, on n'est tout d'abord expulsés les kosovars quand une guerre a été faite et des bombes larguées sur les serbes, nos traditionnels alliés, devenus criminels enragés quand on voulut leurs arracher un morceau de leur chère patrie âprement défendue au cours des siècles. Les kosovars albanais se plaignaient de l'ostracisme des serbes, pourtant leurs enfants étaient scolarisés. Alors comment admettre que selon Léonarda des roms ne pourraient être scolarisés au Kosovar? Le Kosovar arraché aux serbes par les puissances étrangères devrait appartenir aussi bien aux serbes qu'aux roms nés au kosovar!
-Comment comprendre de même que l'on ait expulsé en leur payant retour et hôtel des afghans en âge de se battre tandis que de jeunes soldats européens étaient envoyés en Afghanistan, idem pour le Mali?
- Mais la politique spectacle, ne se soucie guère de voir dans les grandes villes françaises des mères roms mendiées avec un jeune enfant sur leur genou ou sur un tissu à même le trottoir, dans nos rues, places ou dans le métro! Et cela en parfaite contradiction avec la loi française qui interdit aux enfants la mendicité.
-Alors avec cet inutile argent versé pour des retours qui sont souvent des "retour - aller". Une politique intelligente de secours à ces femmes et enfants aurait pu être mise en place.